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Selon un procédé venu du MIT, une entreprise indienne a développé l’Air INK, un stylo dont l’encre est constituée d’air pollué et recyclé.
Ces derniers temps, le monde de la recherche et celui de l’art se sont croisés pour la découverte des nombreuses façons de transformer la pollution atmosphérique en produits moins nocifs pour l’homme. Des résultats révolutionnaires pour l’avenir !

Du côté des artistes…
Pendant que un récoltait l’air pollué de Pékin pendant 400 heures pour en faire des briques, un autre par ailleurs dévoilait une tour d’assainissement transformant les particules fines polluant l’air de sa ville en gemmes à porter sur soi et prouvait ainsi qu’on pouvait s’amuser avec la pollution qui anéantie petit à petit toute vie sur notre planète.

Côté des scientifiques…
Des solutions à plus grande échelle, un diplômé du MIT sortait « Kaalink », une encre noire pour imprimante complètement composée de particules de carbone et le procédé pour développer la méthode à échelle industrielle. Une année après, l’indien qui a fondé l’entreprise a décliné le concept à petite échelle : l’Air INK, l’encre de stylo-bille et/ou de bombes de peinture composée de particules fines, crées par des combustions imparfaites rejetées par des cheminées ou des pots d’échappement.
Vive le progrès et soignons notre planète !

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Écrit par CosmoJoe / via : lareclame.fr

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