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L’association de ces deux noms peut paraître assez surprenante… Mais grâce à un expert du cinéma nous serons peut-être enfin libérés de cette mélodie tenace et ridicule que nous connaissons tous malgré nous : « va donc, va donc chez Speedy, Speedy ! »

C’est un court métrage de 5 minutes aux nuances noires du style « polar » d’Olivier Marchal. Tout est filmé et joué comme dans un film ou une série française de grande qualité. La scène se déroule dans un garage Speedy, que le premier employé ouvre au petit matin. Sa collègue arrive ensuite, et le patron un peu plus tard. Les clients défilent, les échanges sont professionnels, polis, drôles et sarcastiques entre le directeur mal luné et un fidèle client, mystérieux lors de l’arrivée inattendue d’un clown et exagérément dramatique à la fin du court-métrage.

Avec cette production quasi cinématographique, l’entreprise cherche à mettre en avant le chaleureux rapport entre les clients et les garagistes dévoués et consciencieux. Mais ce n’est pas un simple spot publicitaire, c’est aussi une œuvre d’Olivier Marshal. Le message va au-delà de la promotion d’un service : il y a, à travers l’intrigue sentimentalo-policière, une illustration philosophique du rapport entre l’homme et le travail, marquée par l’apparition d’une citation de l’un des prix Nobel de littérature, Henryk Sienkiewicz à la fin de la vidéo : « Partout où l’homme apporte son travail, il laisse aussi quelque chose de son cœur ».

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Écrit pat CosmoNette / Via : jai-un-pote-dans-la.com