Il vous est déjà arrivé d’être obligé de supporter les affreuses paroles d’un très mauvais rap lorsque vous attendez le bus et qu’un petit sans-gêne, qui ne connaît pas l’invention de l’écouteur, laisse la musique de son téléphone en haut-parleur. Et vous, à côté, vous n’osez peut-être rien dire en pensant que le bus va bientôt arriver, ou par peur de paraître rabat-joie, ou encore pour vous éviter d’entrer dans un débat conflictuel dans lequel votre interlocuteur ne semblera pas parler la même langue que vous.
Lors d’un mariage ou d’une fête d’anniversaire, vous pourriez également être obligé d’écouter un de ces vieux classiques de la chanson française tellement ancré dans l’époque de vos grands-parents que le morceau n’aurait jamais du survivre à l’évolution de nos sensibilités musicales. En résumé, il y a malheureusement de très nombreuses occasions où nos oreilles se retrouvent « sans échappatoire possible ».
Mais la situation choisie par l’agence Rosapark travaillant pour Monoprix est vraiment inattendue, et comme toujours, elle trouve les mots exacts et la dose d’humour qui représente parfaitement la marque française. Mais alors, pourquoi vous-même seriez-vous obligé d’écouter la « pire chanson du monde » et de regarder le « pire clip du monde » avec ces mises en scène des plus kitch ? Parce que vous êtes bien curieux de savoir où ils veulent en venir, et que malgré tout, ces petits malins sont drôles et placent leurs arguments de vente d’une façon très adéquate.
Écrit par CosmoNette / Via : www.danstapub.com