« Ça » y est, il est revenu ! (la saleté)
Voilà un de mes plus grands traumatismes d’enfance, et n’allez pas me faire croire que je suis la seule hein ?! A l’approche de mes 30 ballets, je suis toujours flippée par les clowns ! BRAVO ! MERCI ! (Quand j’aurai un enfant : « maman ! On va au cirque ? – Non mon poussin, les clowns c’est pas beau, birk !) La loose…
En tout cas, on ne pouvait pas passer à côté de la promo du film à Paris. Dieu bénisse, je suis Nancéienne ! Ouf !
Oui, parce que figurez-vous que Warner Bros France et l’agence Biborg ont eu la belle idée de disséminer des ballons rouges partout en ville.
Un petit récap pour les jeunes curieux, fous-fous de l’horreur et non traumatisés de l’époque. « Ça » est un film d’épouvante (qui fiche bien les jetons quand on a 7 ans. Ne me jugez pas, j’ai un grand frère qui se moquait déjà pas mal des dégâts que ce film causerait à mon cerveau à cette époque…) Le film raconte l’histoire d’une bande de gamins vivant dans la ville de Derry aux Etats-Unis. (Jusque là tout va bien, rien de traumatisant, je suis d’accord). Mais ces enfants vont devoir faire face à « Ça », un démon ou je ne sais quoi de maléfique, qui prend l’apparence d’un clown (pas le clown mignon tout gentil, non, le genre de clown qu’on n’oubliera jamais !) et qui se nourrit de leurs plus grandes peurs pour mettre fin à leurs jours. (Humm, sympatoche)
Donc pour ceux de ma génération qui ont vénéré le film, la version « remasterisée » était très attendue ! (D’ailleurs un petit big up à mon grand frère, qui n’a toujours pas compris pourquoi je préférais regarder le foot, et qui s’est pris un malin plaisir à me renvoyer la photo de « Ça » avant la sortie du film).
Revenons à nos ballons !
Pour communiquer sur le lancement du film en septembre dernier, Warner Bros France, en collaboration avec l’agence Biborg, a mis, en place une opération de street marketing surprenant qui nous replonge directement dans l’ambiance. Les fameux ballons rouges étaient disposés un peu partout dans Paris et ramenaient directement à l’image affreuse du clown maléfique.
Non seulement les ballons étaient accrochés aux affiches du film, mais aussi aux plaques d’égouts, en référence à la scène mythique d’introduction du film.
Une idée originale je l’avoue, qui prend l’allure d’une campagne de communication mondiale. Une opération similaire a été mise en place à Sydney en Australie.
Crédits : Warner Bros. France
Crédits : Warner Bros. France
Crédits : Warner Bros. France
Crédits : Warner Bros. France
Écrit par CosmoJoe / Via : creapills